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Déficience motrice

1. Répondre aux questions du questionnaire en se basant sur l’article suivant « Intégration scolaire d’un enfant déficient moteur ».

- Lien de l'article 

 

1. Comment peut survenir le handicap moteur ?

L’article ne répond pas à cette question.

« Les causes sont également multiples comme un accident, un traumatisme, une paralysie, une myopathie, une maladie génétique mais aussi le vieillissement global du corps humain »

 

 

2. Quel type de maladie ? (explication, progressive, quelques mots d’explications) ?

L’article ne permet pas de répondre à cette question.

 

 

3. Comment l’avez-vous appris ?

L’article ne permet pas de répondre à cette question.

 

 

4. Comment le vivez-vous maintenant ?

L’article ne permet pas de répondre à cette question.

 

 

5. Comment s’est effectuée l’acceptation du handicap, quelle a été votre réaction face à l’apparition du handicap ?

La plupart des cas sont nés avec leur déficience. C’est moins dure à accepter une déficience quand on naît avec. On ne connait pas « autre chose ».

 

 

6. Quelle incidence d’une déficience moteur peut-elle avoir sur la personnalité ?

L’enfant peut perdre confiance car ils sont conduits à surmonter des efforts très importants. C’est pour cela que durant les évaluations, il est important d’adapté les tâches. Ce sont des enfants sensibles aux encouragements et aux appréciations.

 

 

L’autonomie dans la vie quotidienne 

Déplacement

  1. Les enfants ont ils des difficultés à vous déplacer dans l’établissement ?

Les établissements sont plus au moins facilement accessibles. Il reste des aménagements à faire qui sont faisable : transfert de la salle de classe où est inscrit l’enfant, au rez-de-chaussée. Les aménagements doivent être anticipés tôt comme par exemple les locaux communs : arts plastique, local de musique ou encore une adapté une toilette.

 

 

2. Vous arrive-t-il de demander de l’aide en classe pour effectuer une tâche ?

L’enfant peut demander de l’aide à ses camarades. Il se peut qu’un enfant soit ‘expert’ en math, il peut lui venir en aide pour alléger le travail. Par exemple pour construire une forme géométrique : un enfant fait le pointage l’autre enfant va relier. Mais l’enfant peut aussi solliciter l’aide de l’enseignante ou encore d’une personne auxiliaire.

 

 

3. Trouvez-vous que les adaptations mises en place en classe pour les enfants sont suffisantes et adaptées aux besoins spécifiques ? 

Il existe énormément d’outils qui peuvent venir en aide à l’enfant. Il est important que l’enfant puisse choisir la stratégie qui pour lui le convient le mieux pour les différentes tâches.

 

 

4. Est-il facile d’utiliser un ordinateur ?

Si l’enfant utilise un ordinateur, il est important qu’il dispose des logiciels qui lui viennent en aide et qu’il puisse les utiliser correctement.

 

 

5. Quelles compensations et adaptations sont mises en place pour faciliter les tâches à effectuer en classe ?

L’installation dans la classe est importante, par exemple : se trouver face au tableau même en étant dans une chaise roulante, être non-isolé des autres camarades, pouvoir solliciter facilement l’enseignant, on peut aussi adapter la table (hauteur, inclination, ..).

 

 

6. Y’a-t-il des difficultés à gérer le temps de travail scolaire d’un enfant avec une déficience motrice ?

Certains enfants peuvent aussi être malades, le temps de travail se trouve aussi donc soumis aux aléas de leur santé ou encore les soins et la rééducation qui occupent souvent un temps non négligeable. En cas d’absence, important de prévoir des aménagements comme par exemple : transmissions des cours ou scolarisation à l’hôpital.

 

 

Tâches quotidiennes 

Difficultés fonctionnelles et adaptation 

  1. Quelles sont les difficultés pour lire ou écrire ?

L’apprentissage de la lecture et de l’écriture sont étroitement liés. Différentes difficultés peuvent être rencontrés : confondre des lettres dans leur forme ou encore une agnosie (reconnaissance d’images ou de signes conventionnels écrits).

 

 

2. Quelles adaptations peut-on utiliser pour la lecture ?

Il existe différentes adaptations :

  • L’espace entre les mots

  • Segmentation du texte

  • Augmenter la taille des interlignes

  • Favoriser la lecture continue à l’aide de repères

    • Suivre avec le doigt

    • Pointer le début de la ligne

 

 

3. Quelles technologies peut aider dans la vie quotidienne ? (logiciel, machine, etc. ?)

L’ordinateur est une des technologies le plus utilisé pour aider l’enfant dans ses tâches. L’ordinateur fournit des aides multiples que ça soit en maths ( en géométrie) ou en français (pour l’écriture et même la lecture).

 

 

4. Quels sont les solutions proposé pour le transport du domicile à l’école ?

Trois solutions sont à envisager :

  • L’accès aux moyens de transports collectifs (taxi par exemple).

  • L’utilisation de véhicules aménagés.

  • Le transport par les parents avec une aide de le CDES.

 

 

4. Vous arrive-t-il d’utiliser des schémas en 3D pour apprendre à connaître un lieu ?

N’est pas mentionné dans l’article

 

 

5. Observons-nous des difficultés avec la gauche ou la droite ?

Pour les enfants atteints d’un trouble visuo-spatiaux cela est une difficulté.

 

 

6. Observons-nous d’autres difficultés d’ordre psychomoteur ?

Oui pour des activités en classe nécessitant une habilité gestuelle peut être une difficulté pour ces enfants. En maternelle, on peut déjà le remarquer avec les tâches comme découper, couper, pliage ou encore faire des puzzles. Ensuite, en primaire, on le remarquera en géométrie pour la construction des formes ou du traçage.

 

7. Peuvent-ils bénéficier d’une aide venant d’un professionnel (orthoptiste, ergothérapeute, logopède, …) ?

L’enfant peut être aidé par un ergothérapeute pour l’installation en classe mais aussi par une personne auxiliaire qui va l’aider dans les tâche journalière et pour les déplacements du matériel de l’école à la maison et inversement.

 

 

8. Si oui, quel professionnel doit être appelé pour une « rééducation » ?

La rééducation se fait majoritairement en dehors de l’école.

 

 

9. Quelle a été la durée de cette prise en charge ?

N’est pas mentionné dans l’article.

 

 

10. Les enfants apprennent-ils à utiliser les aménagements ?

Les aménagements que les enfants possèdent doivent être choisi avec l’enfant. C’est l’enfant qui va mettre en place une stratégie à l’aide de ses aménagements pour pouvoir contourner son handicap.

 

 

11. Quel type d’organisation du travail pouvons-nous proposer ?

Il faut tenir compte des différents éléments qui compose une tâche. Il est important d’améliorer les stratégies de prise de l’informations. Il faut organiser le travail en guidant l’enfant, suggérer des procédures. Dans tous les domaines d’apprentissage, l’élève doit être conduit à réfléchir sur la méthode qu’il utilise.

 

 

La scolarisation

  1. Quels sont les aménagements concernant les examens ?

Conformément à la circulaire du 30 août 1985, “des dispositions particulières sont prévues pour permettre aux élèves handicapés de se présenter à tous les examens dans des conditions aménagées : aide d’une tierce-personne, augmentation d’un tiers du temps des épreuves, utilisation d’un matériel spécialisé” (cf. le guide Handiscol’ pour la scolarisation des enfants et adolescents handicapés). En ce qui concerne l’éducation physique, il y a des épreuves qui sont prévus pour.

 

 

2. Des adaptations spécifiques sont-mises en place lors de l’arrivée dans l’enseignement ?

Pour différentes disciplines comme la lecture, l’écriture ou les mathématiques, il y a différents aménagements qui sont mis en place. Voici différents exemples :

  • Le choix du plan de travail

  • Adapter l’outil scripteur

  • Solliciter la mémoire visuelle

  • Pour le calcul : posséder d’une calculatrice

  • Pour dénombre : utiliser des objets déplaçables

 

 

3. Les professeurs ont-ils accepté d’effectuer des adaptations dans leur manière de donner cours ainsi que dans leur système de cotation ?

Dans l’article on ne parle pas spécialement de la volonté des professeurs de changer leur manière de donner cours. On nous informe sur les aménagements qui peuvent être utilisé.

 

 

4. Un service d’aide est-il présent dans l’établissement scolaire actuel ?

L’enfant peut demander une aide auxiliaire.

 

 

5. L’aide qui vous est apportée au niveau scolaire est-elle adaptée et suffisante ?

Ceci n’est pas mentionné dans l’article.

 

 

6. Certains enfants doivent-ils faire des réorientations scolaires ? Si oui, pourquoi ?

N’est pas mentionné dans l’article, de savoir si même avec les aménagements raisonnables quels sont les réorientations scolaires. Néanmoins, je peux y répondre en disant que ce sont les écoles spécialisées.

 

 

Au niveau social 

L’article ne permet de répondre à ces questions car nous parlons de l’intégration en milieu scolaire.

 

 

2. Se positionner en tant qu’orthopédagogue, faire des suggestions, donner son avis par rapport à l’intégration d’un enfant en milieu scolaire

Pour que nous puissions parler d’inclusion en milieu scolaire, il est primordial de prévoir des aménagements raisonnables. Notre devoir en tant que orthopédagogues va être d’apporter et d’informer ces écoles en inclusion des différents aménagements qu’il est possible de mettre en place.

 

Je crois que les école d’inclusions seront le futur. Mais il est important de se préparer correctement. Cela demande une préparation au niveau de l’établissement mais aussi au niveau de la sensibilisation des autres élèves, des parents des autres élèves et de l’équipe pédagogique.

 

C’est un projet qui est réalisable mais pour lequel il faut s’informer, il faut se renseigner au niveau des coûts que cela peut apporter mais aussi de ce qu’il faut mettre en place, ect.

 

Cet article, m’a motivé à aller vers des écoles ouvertes à l’inclusion car il y a déjà tant d’aménagements qui ne demandent que à être utilisés. Notre rôle est de sensibiliser les écoles à aller vers l’inclusion en leur montrant ce qui est réalisable.

 

En faisant de l’intégration dés le plus jeune âge, notre société ira aussi vers l’inclusion. Mais pour cela, il faut aider les écoles à mettre ces dispositifs en place pouvoir accueillir des élèves avec une déficience.

 

3. Avis personnel sur l’intégration

 

Les école d’inclusions pour moi c’est le futur. Les personnes ayant une déficience motrice par exemple ont totalement leur place dans une école ordinaire. Ils ont aussi le doit de recevoir la même éducation qu’un autre élève.

 

Dans l’histoire de notre société, nous avons mis les personnes atteintes d’une déficience en dehors de celle-ci. Nous sommes au 21ième siècle et il est grand temps de changer notre mentalité.

 

Si nous avions tous eu un jour l’occasion d’être en contact avec une personne atteinte d’une déficience motrice par exemple, nous connaîtrions mieux cet handicap et l’accepterons peut-être mieux aussi.

 

Nous entendons encore trop souvent autour de nous des personnes qui n’ont jamais été en contact avec une personne ayant une déficience. Comment cela se fait-il ? Tout simplement parce que la société les met de côté dans des établissement spécialisés. Pourquoi n’ont-ils pas autant le droit que nous de choisir leur établissement et être accepté comme ils sont ? Pour eux, c’est une injustice qu’il est temps de rectifier.

Bibliographie :

Mbo Gonda, A. (2020). Cours de Déficience motrice. Spécialisation en Orthopédagogie. HE2B, Defré. Uccle.

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