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Trouble de l'attention

  1. Choisir un livre sur le sujet

 

Titre : 100 idées pour mieux gérer les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité.

Auteur : Francine Lussier

 

2. Choisir un chapitre et expliquer ce que ce chapitre peut nous apporter pour notre future pratique d’orthopédagogue

 

Dans ce livre, il est compliqué de choisir un chapitre car il est composé (comme son titre l’indique) de 100 idées qui peuvent aider les enseignants mais aussi les parents à mieux gérer un enfant TDA/H. Voici plusieurs idées qui m’ont interpellées :

 

  • Idée 47 : mieux connaître les capacités et les limites de son élève.

    • Effectivement, il faut prendre en compte la globalité du comportement de l’enfant. Dans ce chapitre, on nous donne le conseil de mieux connaître l’élève en lui proposant des évaluations. Ainsi, nous pourrons prendre en considération les différentes difficultés de l’enfant et travailler sur elles en priorité.

 

  • Idée 18 ; aider l’enfant à s’organiser

    • C’est une des tâches les plus compliquées pour un enfant TDA/H : l’organisation ! Il est important que les parents soient avertis car l’enfant a aussi besoin de structurer son quotidien : se brosser les dents, ranger sa chambre, accomplir les tâches du matin (se laver, s’habiller, manger dans un certain lapse de temps),… En tant que orthopédagogues, nous pouvons venir en aide à ces enfants en apportant des aménagements comme mentionnés dans le livre : un time-timer, un agenda ou lui apprendre à faire des to do listes si il a trop de tâches à accomplir.

 

  • Idée 49 : établir une bonne communication avec les parents de cet élève.

    • Être parent d’un enfant hyperactif peut être très épuisant car l’enfant sollicite beaucoup d’attention. Il est donc important que les parents se sentent soutenus par l’institutrice et l’équipe pédagogique. Ici l’orthopédagogue peut instaurer une communication positive entre les parents et l’institutrice. Il existe des plateformes où l’institutrice peut écrire les devoirs ou encore émettre des consignes. De plus, nous pouvons aussi informer les parents qu’il existe des associations où les parents peuvent échanger avec d’autres leur expérience. Je crois qu’il est important que les parents se rendent compte qu’ils ne sont pas seuls.

 

  • Idée 42 : reconnaître l’impulsivité et l’hyperactivité

    • Cette idée-ci m’a le plus interpellée car tout ce qui est énoncé dans cette idée, je l’ai déjà vécue en stage. Dans chaque classe, on retrouve bien un enfant qui répond aux questions même quand ce n’est pas son tour, qui a toujours besoin de bouger, qui ne sait pas faire une activité calmement,… Je crois que maintenant avec ma formation d’orthopédagogue je considérerai cet enfant avec un autre regard. Effectivement, dès que nous pouvons mettre des mots sur ce que l’enfant vit, nous pouvons l’aider à aller mieux. Car ce n’est pas un problème de mauvaise éducation, mais bien un état neurologique dont l’enfant n’y peut rien.

 

  • Idée 40 : connaître les symptômes spécifiques du TDA/H

    • Je terminerai avec cette idée car, pour moi, c’est l’idée qui apporte le plus à notre rôle d’orthopédagogue. Les enseignants ne sont pas assez formés pour les différents troubles qu’un enfant peut avoir.  Étant diplômée enseignante depuis l’année passée, je ne regrette en rien d’avoir choisi cette année de spécialisation qui, j’en suis convaincue déjà, va m’apporter énormément le jour où je décide de prendre une classe en main. Notre devoir est de sensibiliser tous les enseignants à ces troubles qui sont présents dans toutes les classes.

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3. Plan d’Aménagements personnalisés 

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Travail de groupe réalisé avec Pauline Ligot, Ysaline Gilson et Céline Smets. 

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Lien pour télécharger le PIA : 

Bibliographie : 

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Jacquet, E. (2020). Cours « Trouble de l’attention : introduction ». Spécialisation en Orthopédagogie. HE2B Defré, Uccle.

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