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Séminaire pratique 

Durant le premier quadrimestre, nous avons vécu deux séminaires.

 

Nous avons eu un séminaire sur la famille et sur le rôle de l’orthopédagogue dans le contexte professionnelle.

 

Commençons par le premier séminaire : la famille.

 

Lors de ce séminaire, nous avons eu l’occasion de rencontrer deux mamans. Dans cette réflexion, je vais vous parler du témoignage de la maman de Enzo.

 

La première était la maman de Enzo, un jeune homme autiste de 35ans. C’est seulement à l’âge de 11 ans que les parents de Enzo on pu diagnostiqué l’autisme de Enzo. On ne connaissait pas assez bien cette pathologie pour pouvoir faire le diagnostique plus tôt…

 

C’était un soulagement quand le diagnostique et tombé car enfin, il s pouvaient mettre des mots sur le handicap de leur enfant et pouvoir l’aider.

 

En tant que maman, on veut savoir communiquer avec son enfant, le connaitre. C’est pour cela que Julia a appris de rentrer dans le monde de son fils. Elle a appris à communiquer avec et à le comprendre.

 

Le parcours scolaire de Enzo était assez difficile mais sa maman était là pour le soutenir.

 

Aujourd’hui, il a 35 ans , il vit la semaine dans une institution où il a un logement indépendant et revient le week-end chez ses parents.

 

Pour Julia, il faut encore faire beaucoup de recherche sur l’autisme car laissé nu enfant jusqu’à ses 11 ans sans diagnostique n’est pas admissible et n’est pas vivable pour l’enfant.

 

Il faut garder espoir et continuer nos recherches scientifiques sur la maladie.

 

On sent qu’il y a eu une souffrance chez l’enfant mais aussi chez les parents de ne pas savoir de mettre de mot sur le problème de l’enfant. Il est important qu’on continuer faire des recherches et des test pour que ces enfants se libèrent.

 

Le deuxième séminaire était à propose du rôle de l’orthopédagogue dans le contexte professionnelle.

 

Nous avons eu différents témoignages de différentes personnes travaillant dans des école d’inclusion, dans des asbl, … Le témoignage qui m’a le plus plu a été celui de G.. Enseignante secondaire à l’assomption, elle a ouvert une cellule d’aide pour les jeunes en difficultés.

Ce qui m’a fort plus dans son témoignage c’est sa démarche. Elle a fait des études d’enseignante et ensuite une spécialisation en orthopédagogie. Avec son bagage de professeur et d’orthopédagogue, elle a voulu travailler dans une école dite ordinaire. Car effectivement dans chaque école on retrouver des enfants en difficultés.

 

Effectivement, notre place est aussi dans une école ordinaire pour pouvoir accompagner les enfants en difficultés pour qu’ils puissent rester dans l’école.

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